Exposition de Laure Coupey à la Galerie Talbot, Paris.
Certains noms semblent prédestiner leurs porteurs. Laure Coupey est de celle là. Elle travaille le bois à la tronçonneuse.
Elle s’est engagée il y a des années dans un corps à corps avec cette matière dont elle fait surgir des formes exigeantes, fières et généreuses.
Exposées en parcours, ses sculptures appellent davantage le toucher et l’ouïe que le regard.
Et pourtant,
Ces formes pures, fendues par leur milieu, qui jouent du sombre et du clair pour mieux donner à voir leur volume et leur matière, qu’évoquent elles sinon le corps de la femme, obscur désir du regard…
C’est un travail qui se visite dans le silence et la solitude intérieure de l’être.
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Gorge profonde.
Fendu le bois de tête !
Graines fécondes percent l’œil d’une infinie promesse
De douceur.
Superbe découverte et pertinente analyse de l’oeuvre très sensuelle – qui ne laisse pas de bois – de l’artiste !
NB un petit “-” s’est fait la malle entre “qu’évoquent-elles”
Peut être que le rappel d’articles “dans la même catégorie” pourrait se contenter de mentionner les titres sans les photos afin de remonter la rubrique “laisser un commentaire” pour laquelle il faut pas mal descendre pour la trouver
Je prends note de la requête. Je n’ai pas la main sur toutes les options techniques. Je travaille avec un modèle que je customise. Affaire à suivre…